
JK Kim Dong-wook déclenche une nouvelle controverse avec des déclarations politiques audacieuses
Le chanteur JK Kim Dong-wook est de nouveau au centre d'une tourmente médiatique suite à ses récentes déclarations politiques.
Il a partagé sur ses réseaux sociaux une pensée provocatrice : « Les ignorants s'entourent de sages pour combler leur manque de savoir. Les rustres s'entourent de personnes encore plus ignorantes qu'eux pour justifier leur propre stupidité. » Cette opinion a été rapidement interprétée comme une critique acerbe des nominations actuelles au sein du gouvernement de Lee Jae-myung.
Par le passé, JK Kim Dong-wook avait déjà fait parler de lui en affichant ouvertement son soutien à l'ancien président Yoon Suk-yeol, partageant des photos de drapeaux sud-coréens et des messages comme « Défendre le président est le seul moyen de défendre le pays ! Qui est le bureau du procureur ? ».
Après la destitution de Yoon, il avait exprimé son inquiétude quant à l'avenir du pays, affirmant qu'il pourrait s'effondrer « bien plus tôt que prévu par le monde entier », suite à la vision d'une vidéo prédisant la chute de la Corée en 2060. Il avait également encouragé les jeunes générations à lutter contre les forces « anti-coréennes ».
Plus récemment, il a critiqué une récente rencontre au sommet entre la Corée du Sud et les États-Unis, la qualifiant de « rapport non conventionnel de flagornerie unilatérale », au point que même le goût d'un taco lui a retourné l'estomac. Il a souhaité que cette visite reste gravée comme la première visite non conventionnelle où le président n'a pas été correctement traité, de son arrivée à son départ.
Ces propos interviennent peu après avoir exprimé son soutien à Lee Jin-sook, présidente de la Commission des communications de radiodiffusion, alimentant ainsi à nouveau le débat public.
Né en 1957, JK Kim Dong-wook est un chanteur d'origine coréenne mais possède la nationalité canadienne. Il a émigré au Canada avec sa famille lorsqu'il était au lycée, ce qui l'a dispensé du service militaire obligatoire en Corée du Sud. Il n'a donc pas le droit de vote dans son pays d'origine.